Pour une réconciliation vitale entre l'Homme et la Nature
J’ignore s’il est encore temps –mon côté pessimiste aurait tendance à affirmer que non- mais, et c’est heureux, j’ai des amis qui pensent autrement et continuent à croire en l’humain et en ses facultés de résilience… François est de ceux-là et j’aime à partager son appel à s’engager que je retransmet ci-dessous ! L’illustration est également tout un symbole : hélas, à ce jour, l’Homme, plutôt que de saluer et de respecter ‘’toutes les bêtes’’, continue à les massacrer et ce, y compris le jour de Noël…
JLS
Devant l’enjeu crucial rappelé lors de la COP 15 sur la protection de la biodiversité, il est triste, révoltant, de constater qu’une bonne partie de la population continue à être dans le deni quasi-total ! Nous vivons une crise écologique sans précédent alliée à cette fatalité d’expansion destructrice dominée par la guerre, la pauvreté, les pandémies, la disparition massive d’animaux et de plantes sauvages, le changement climatique… et on continue à regarder ailleurs et « même à fermer les yeux » !
Devant ce constat accablant il est urgent de souhaiter l’émergence rapide d’une nouvelle morale collective qui devra nous pousser à revoir nos modes de vie et de pensées actuels en faveur d’une civilisation de partage, de fraternité et d’harmonie avec la Nature et d’espérer entre autres, que l’on arrête de taper honteusement sur ceux qui essayent, contre vents et marées, de la protéger.
Pour l’émermergence d’une nouvelle morale collective
Que faut-il encore dire, écrire ou faire pour qu’émerge une prise de conscience par rapport à nos dépendances avec le reste du vivant dont l’Homme, après tout, est l’un des composants les plus vulnérable. En effet, suite aux agressions que nous infligeons jour après jour, à la Nature, celle-ci est en train de se rebiffer et, une Nature agressée deviebt agressive et nous entraîne dans une course folle et inédite dont on ne sait pas vers quoi elle nous mènera au final…
Nous sommes arrivés à un tournant décisif pour l’avenir de la planète et de l’humanité et nous ne pouvons plus avoit l’excuse de l’ignorance et encore moins celle de l’indifférence pour enfin bâtir une civilisation où la Nature ne sera plus rejetée mais intégrée comme base d’un nouveau et bon fonctionnement de notre société.
Bâtir une civilisation où la Nature ne sera plus rejetée
En cette période de l’après Noël puisse chacun d’entre nous se sentir tenu de participer à cette réconciliation vitale entre l’Homme et la Nature.
François Steimer
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