Le Papillon
Ô Papillon, merveille de la Nature : que tu sois diurne ou nocturne, que tu sois multicolore ou, simplement, en noir et blanc, toujours tu nous fascine, toujours tu émerveille !
Le Machaon ou Grand porte-queue, le Demi-deuil et le Flammé… Photos : Jean-Louis Schmitt (Cliquez pour agrandir)
Magnifique, chaque papillon l’est assurément… même si, certains d’entre eux le sont un peu moins que d’autres et nous causent quelques dégâts : je pense en l’occurrence à cette jolie Pyrale du buis dons les chenilles sont si friandes de l’arbuste au point de mettre, localement, les buxacées en péril. Je n’oublie pas non plus la discrète Hyponomeute du fusain dont les chenilles ne le sont, en revanche, pas du tout, boulotant les arbustes sans le moindre scrupule et ce jusqu’à les défolier quasi complètement… Des exemples de ce genre, on peut naturellement en trouver d’autres mais, là, n’est le sujet du jour : au contraire, place ici au beau, à ce qui nous fait rêver, voyager, fantasmer, s’évader…
De fait et quelle que soit l’espèce de Papillon, celui-ci traverse quatre périodes pour en arriver à l’âge adulte, quatre comme les points cardinaux, les saisons, les périodes d’existence des humains… Ainsi, pour le Papillon tout commence par un œuf minuscule : c’est la conception un peu comme pour nous autres en somme ! Ensuite l’œuf se métamorphose en chenille : c’est une période cruciale où le futur insecte se nourrit, se déplace, ‘’capitalise’’ ni plus, ni moins !
Le temps venu, cette chenille s’isolera et se transformera une fois encore pour devenir en toute intimité une chrysalide : ainsi, à l’abri des intempéries, l’insecte prépare sa grande, son ultime transformation…
Naissance de l’Imago
Puis enfin, ultime mutation, la naissance proprement dite du papillon tel que nous le connaissons : magnifique, étonnant, magistral, remarquable, somptueux… Ce papillon qui sera, pour quelques semaines seulement –quelques mois pour ceux qui passent l’hiver- cet insecte parfait que nous admirons et que le photographe poursuit avec assiduité. C’est le temps pour ces beaux insectes de chercher un partenaire et, ensemble, de perpétuer l’espèce et, déjà, le temps est venu pour lui de laisser champ libre à d’autres dont le sort est rigoureusement identique !
Chers Amis lecteurs,
Il n’y a rien en jeu, rien à gagner –donc rien à perdre non plus- mais, parmi les 27 photos de Papillons et de chenilles qui illustrent cette publication, combien en reconnaissez-vous ?
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