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Publié le par Jean-Louis Schmitt

Poursuite aujourd’hui de notre rencontre avec les chamois du Hohneck ! Michel, mon comparse (je n’ose plus dire « vieux »…) m’ayant envoyé plusieurs messages depuis notre sortie commune, je me rends compte que nous avons eu beaucoup de chance ce jour-là car, les petits caprinés sont assez mobiles et donc ne se trouve pas forcément là où on les attend…

Photo : JLS (Cliquez pour agrandir)

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Les cornes fines et droites des chamois se terminent en crochet. Contrairement aux bois des cervidés, elles persistent toutes la vie de l'animal. Ses membres fins sont équipés de muscles puissants qui lui permettent de faire des bonds spectaculaires, et l'extrémité de ses pattes est pourvue de sabots qui se divisent en deux doigts munis d'une membrane capables de s'écarter pour une meilleure adhérence sur la roche… (Source : Futura-Sciences)

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Photos : JLS (Cliquez pour agrandir)
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Les effectifs de chamois ne sont pas répartis de manière égale et certaines populations et sous-espèces sont en situations précaires. Le groupe des Abruzzes italiennes ne compte que 300 têtes, mais s'est stabilisé. Parmi les plus grands dangers menaçant le chamois, l'on peut trouver les avalanches, les chiens errants, les incursions humaines et les troupeaux d'ovins en transhumance qui le concurrencent sur le plan alimentaire. (Source : Futura-Sciences)

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Les chamois aiment les plantes herbacées qu’ils trouvent dans leurs biotopes. Grâce à un étalement de la germination dans le temps, la nourriture est disponible longtemps. Elle est très riche en matières nutritives, de plus ils ne consomment parfois qu’une partie de la plante. Ils mangent principalement les graminées et les fleurs telles les iris, les jonquilles, et les gentianes. En été, les légumineuses (trèfles des Alpes) constituent le plat principal des chamois. Il est à noter que le D. grandiflorum est nommé par les Allemands ‘’Gemsengras’’ ou ‘’herbe à chamois’’. Quelquefois, ils peuvent aussi manger du feuillage, des arbustes, voire des baies. (Source : Wikipédia)

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C
quel spectacle ! les photos sont superbes ! Merci
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B
Magnifiques photos !!!
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J
Superbes photos. A quelle distance te trouvais tu?
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J
Il y en avaient certains qui n'étaient pas à plus d'une quinzaine de mètres, d'autres bien plus loin... En fait, une fois trouvé le site où ils stationnent -je le répète, ils sont pas mal mobiles- ils sont plus facile à photographier que nos chevreuils de plaine qui sont extrêmement farouches... et pour cause : ils n'ont jamais la paix !
A
Très belle présentation d'un animal très élégant ! Merci pour cette belle publication.
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J
Très belles photos
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C
Superbe billet avec des splendides photos! Bises et bon week-end à vous tous!
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J
Tu as su garder le, les, meilleures (photographies) pour la fin de la randonnée. Ils sont vraiment très beaux ces animaux bien élégants.
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Z
Quel bel animal et tes photos sont magnifiques! J'imagine très bien votre joie de cette rencontre!
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O
Bel animal que le chamois. Je viens de repérer sur l'une des photos celui qui faisait ses courses au Lidl de la Robertsau pendant le confinement. Content de savoir qu'il a retrouvé les siens.
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C
De magnifiques photos
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C
Je l'attendais et je ne suis pas déçues : des photos magnifiques avec quelques splendides portraits ! Y- aura-t-il une suite ?
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J
Oui Claire : il y aura encore quelques publications sur ces balades vosgiennes ! La suite est d'ailleurs déjà en ligne... Merci pour votre fidélité !
C
Pardon : Je ne suis pas "déçue"...
D
Je suis avec toi par la pensée, car les jambes !!!.....s'ils se déplacent vous avez réussi à les trouver pour prendre ces photos belles et touchantes ; je vois des pensées sauvages , elles sont nombreuses dans les Vosges au-dessus de 900m.....d'après ce que j'en ai vu, au-dessus de Hautes Huttes , au Ballon d' Alsace etc ...mais puisque tu es au Hohneck, tu verras sûrement une immense chaume couverte d'anémones sauvages blanches ....à moins que ce ne soit pas la saison....si je ne m'abuse entre Kastelberg et Hohneck ! Quel bonheur cette randonnée ! terminée si je comprends bien ?
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J
Oui Dominique : la randonnée fait -hélas- déjà partie des souvenirs ! Le fait d'en partager des fragments fait indéniablement durer le plaisir...
S
Ah Jean Louis, personne à part les amoureux fous de la nature comme nous ne peuvent comprendre qu'il ne nous faut que ce genre de balades, de rencontres, pour nous rendre totalement heureux ! Quand j'arrive vers Molsheim, le début des cimes vosgiennes, j'éprouve une telle plénitude , une sérénité incroyable, et que dire quand nous sommes au milieu des sapins !! merci pour ces images..
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J
Même sentiment de dépaysement pour nous dès que nous dépassons Sarrebourg : en fait, il n'est pas nécessaire d'aller bien loin du moment qu'on est bien !
D
belles images, j'aimerais grimper comme eux
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