Élevage industriel vs. Elevage bio

Publié le par Jean-Louis Schmitt

Un focus sur les deux modes d’élevage avec les divers paradoxes soulevés en particulier par le modèle industriel… La "balle" est très clairement dans le camp des consommateurs : une réduction de produits carnés dans l’assiette semble la seule alternative pour faire bouger les lignes…

La « ferme » des 1000 veaux… Image extraite de la vidéo.

Alors qu'un nombre croissant de Français plébiscitent des aliments issus de l'agriculture biologique, que les grandes enseignes de la distribution surfent - depuis des années déjà - sur la vague du bio et du "plein air", les projets de méga-élevages industriels - centres d'engraissage confinés et autres installations avicoles géantes - se multiplient. "Focus" se penche sur ce paradoxe…

Vidéo : Élevage industriel vs. Élevage bio : le paradoxe de l'agriculture en France (10 :29)

 

 

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Z
C'est une honte et une horreur ! <br /> je plébiscite ton idée de faire passer un mois logé à la même enseigne que leurs animaux!
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K
Honte à ces élevages industriels qui se fichent du bien-être animal !!!
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C
Pas de doute : c'est un samedi gris avec des nouvelles de la même tente ! Ces élevages industriels sont une honte de nos sociétés et resteront encore un moment de véritables verrues et pas seulement dans le paysage ! Ce blog nous y incite souvent : nous devons changer nos comportements et nos pratiques alimentaires : c'est la seule manière de faire changer les choses à terme !
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J
"Il faut qu’ils puissent bouger mais… dans une certaine limite tout de même" "Pour moi, ce sont des veaux heureux : ils ont tous une place pour se coucher, moi ça me convient" dixit Gilbert Mazaud, propriétaire de la "Ferme" des Mille veaux, une de ces débilités sortie d’un cerveau qui ne se soucie que de rentabilité. Il serait judicieux de proposer aux concepteurs de ces camps pour animaux et à ces "éleveurs" ne serait-ce qu’un mois du même mode d’existence que celui imposé à ces veaux ou aux poulets qui passent toute leur existence dans une cage minuscule –mais avec un "perchoir" !- et dans une promiscuité qui ne peut, à terme que rendre dingue… Peut-être que leur vision étriquée des choses changerait !
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