Dernière chance pour les animaux

Publié le par Jean-Louis Schmitt

Lors d'une soirée entre amis, Eric essaie un nouveau restaurant qui offre une expérience gastronomique complète. « La Casa de Carne » est un court métrage de réflexion sur des choix difficiles et des vérités cachées, qui se déroule dans un sombre avenir pas si lointain.

Ce court métrage a été désigné Lauréat de la 1ère place du Tarshis Film Award au Festival du Film Animal 2019.

Vidéo : La Casa de Carne (2:20)

 

 

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"L’homme est véritablement le roi de tous les animaux, car sa cruauté dépasse celle des animaux. Nous vivons de la mort des autres. Nous sommes des tombes marchantes." Léonard de Vinci

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J
Un peu manichéen mais efficace. Je ne crois pas personnellement que beaucoup d'entre nous seraient capables d'utiliser le couteau. Ne serait-ce que par incompétence due à l'époque. Quand j'étais jeune, en Bretagne, les cultivateurs, généralistes et avec petites exploitations dans les années 50, tuaient le cochon tous les à l'époque des moissons. Le cochon, qui sans doute avait compris ce qui l'attendait criait comme un enfant, avant d'être saigné et pendu par un crochet métallique à une barrière près de la ferme. Pas de méchanceté de celui qui l'égorgeait, fermier ou boucher du bourg, il fallait bien donner à manger aux convives participant à la batterie, préparer la saucisse à fumer dans la cheminée et saler le reste pour l'hiver à venir. C'était souvent le seul cochon de l'année. J'ai bien connu les intervenants de l'époque, ce n'était pas tous des sadiques. C'était banal même si tous les enfants n'appréciaient pas d'entendre le cri du cochon qu'on égorge. Autre temps certes mais pas si lointain !
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J
J'ai bien connu et également vécu ces scènes qui m'ont, je crois, marqué à vie même si, comme vous le soulignez, il n'y avait aucun sadisme dans cette "tuerie" : c'était comme ça et nul ne songeait à faire autrement ! Il n'empêche que le cri du cochon, je ne l'ai jamais oublié et, ce cri, me fait toujours mal...
P
La liste des horreurs que nous arrivons à infliger à nos voisins, frères, soeurs, cousins, humains pas humains depuis des millénaires est sans fin. Avec un raffinement sadique artisanal ou une froide rationalisation industrielle, les plus belles réussites de notre génie. Génocides, ethnocides, crimes contre la nature, nous serons lourdement condamnés..... Un peu désabusé je ne crois pas beaucoup à la capacité de l'espèce à faire un pas de côté. Cela dit le film est bien fait et probablement efficace, on ne peut que le souhaiter.
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L
Je pense que beaucoup de personnes tueraient le cochon sans sourciller, sinon le fait de se salir, je suis heureux de ne pas faire partie de ces individus, mais devoir vivre parmi ces gens est un enfer.
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Z
" Si les abattoirs avaient des vitres , tout le monde serait végétarien" Paul McCartney . Heureuse de l'être !
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J
Tout le monde, je ne sais pas mais nombreux seraient ceux qui prendraient conscience de l'horreur subie en permanence par des millions d'êtres quotidiennement !
J
Pro viande, anti viande, leurs arguments sont souvent extrêmes. Je n'ai jamais vu de cochon aussi propre que dans cette vidéo, sauf dans le film" Babe, le cochon qui parle". En plus, il est hyper familier avec l'homme. C'est du manichéisme.
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J
A l'occasion, je te montrerai des cochons heureux et, pour le coup, tout propres car, oui, ça existe ! Evidemment pas dans le système concentrationnaire qui est quasiment la "norme" actuellement...
D
Si chaque fois il nous fallait passer dans l'arrière boutique<br /> il est bien des choses que l'on s’abstiendrait de faire ... <br /> c'est peut-être la solution !
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J
C'est une évidence en effet !
A
Je trouve que c'est bien fait, j'espère que ça aidera à qq prises de conscience...
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J
Malgré la relative retenue des images, toute la violence est néanmoins palpable : une très bonne mise en scène... enfin, c'est un avis très personnel !
J
Brrr ! C’est là qu’on apprécie pleinement d’être végétarien !
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