Les baleines encore…

Publié le par Jean-Louis Schmitt

Wind On The Water - Magnifique morceau de Crosby, Stills and Nash et bouleversant plaidoyer pour les baleines. C’était en… 1975 et les épouvantables harpons tuaient toujours non pas pour nourrir des affamés mais pour faire, entre autre, du savon et d’autres produits cosmétiques…

Merci à François S. pour ce sympathique rappel.

Baleine à bosse. Photo : Baleines.net

 

Over the years you have been hunted
By the men who throw harpoons
And in the long run he will kill you
Just to feed the pets we raise
Put the flowers in your vase
And make the lipstick for your face

Over the years you swam the ocean
Following feelings of your own
Now you are washed up on the shoreline
I can see your body lie
It's a shame you have to die
To put the shadow on our eye

 

Maybe we'll go
Maybe we'll disappear
It's not that we don't know
It's just that we don't want to care
Under the bridge
Over the foam
Wind on the water
Carry me home

 

Vidéo : Critical Mass and Wind on the Water - Crosby, Stills and Nash.wmv (5:47)

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
K
Ces massacres doivent cesser.<br /> Belle vidéo.
Répondre
D
arrêter le massacre, oui ! la traduction de google m'a été précieuse
Répondre
A
Voilà un bien beau morceau sur de magnifiques images... horribles aussi avec cette évocation des baleiniers et de leurs immondes harpons ! Et la guerre contre la nature se poursuit... Greenpeace, Sea Shepherd et tous les autres combattants et défenseurs des bêtes ne sont pas prêts d'être réduit aux chômage...
Répondre
J
Vous l’aurez compris, le sujet des mammifères marins –mais pas que…- me touche particulièrement ! Les nouvelles des derniers jours étant assez catastrophiques (lire entre autres ici : http://natureiciailleurs.over-blog.com/2018/03/norvege-des-quotas-releves-pour-relancer-la-chasse-a-la-baleine.html et là : http://natureiciailleurs.over-blog.com/2018/03/massacre-de-dauphins-sur-les-cotes-francaises-l-etat-francais-spectateur-passif.html ) il me semblais opportun de publier ce ‘’Wind on the Water’’ un peu vieillot certes mais, hélas, toujours cruellement d’actualité !<br /> Ce qui me désespère c’est qu’on a l’impression de n’avoir nullement évolué : concernant notre rapport avec les bêtes, on assiste trop souvent à un étrange ballet qui pourrait se résumer ainsi : un pas en avant, deux en arrière… et tout continue (ou recommence) !
Répondre